LES MALADIES CARDIO-VASCULAIRES


Saviez-vous que les maladies cardio-vasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde ?

On estimerait à plus de 7,5 millions le nombre de décès dus aux maladies cardiovasculaires.

Alors évidemment, avant d’entrer dans le vif du sujet, définissons les termes utilisés. On désigne comme « cardio – vasculaire » toute maladie ou trouble affectant le cœur et ou les vaisseaux sanguins.

Décidément rien de très joyeux…

Aucun âge n’est épargné du fait de l’augmentation des facteurs de risques que sont le tabac, le stress, le surpoids ou encore la sédentarité. Les jeunes fument de plus en plus jeunes, souvent en période d’examen pour atténuer le stress et le taux d’obésité mondial ne cesse aussi d’augmenter. Pour résumer, nous consumons quotidiennement notre cœur et sa bonne santé par notre vie quotidienne.

Nous pouvons maintenant rentrer dans le « cœur » du sujet, sans mauvais jeu de mot.

 

Les principales maladies cardiaques sont représentées par la maladie coronaires, donc tout ce qui affecte les artères du cœur, les maladies des valves cardiaques, les troubles du rythme cardiaque, les maladies vasculaires cérébrales et puis les très connues maladies congénitales, donc tout ce qui se rattache aux malformations cardiaques et autres artériopathies des membres inférieurs.

Les principales maladies cardiaques sont représentées par la maladie coronaires, donc tout ce qui affecte les artères du cœur, les maladies des valves cardiaques, les troubles du rythme cardiaque, les maladies vasculaires cérébrales et puis les très connues maladies congénitales, donc tout ce qui se rattache aux malformations cardiaques et autres artériopathies des membres inférieurs.

Toutes ces maladies sont souvent dues à des dépôts de graisse sous forme de plaque sur des artères du cœur ce qui réduit le débit sanguin. Ces plaques peuvent atteindre des organes vitaux tel que le cerveau ou le cœur.Ces dépôts forment des plaques appelées plaques d’athérome. Les parois des artères se durcissent.

Les maladies cardiovasculaires constituent un ensemble de troubles affectant le cœur et les vaisseaux sanguins, qui comprend:

  • les cardiopathies coronariennes (touchant les vaisseaux sanguins qui alimentent le muscle cardiaque)
  • les maladies cérébro-vasculaires (touchant les vaisseaux sanguins qui alimentent le cerveau)
  • les artériopathies périphériques (touchant les vaisseaux sanguins qui alimentent les bras et les jambes)
  • les cardiopathies rhumatismales, affectant le muscle et les valves cardiaques et résultant d’un rhumatisme articulaire aigu, causé par une bactérie streptocoque
  • les malformations cardiaques congénitales (malformations de la structure du cœur déjà présentes à la naissance)
  • les thromboses veineuses profondes et les embolies pulmonaires (obstruction des veines des jambes par un caillot sanguin, susceptible de se libérer et de migrer vers le cœur ou les poumons).

Les infarctus et les accidents vasculaires cérébraux sont généralement des événements aigus et sont principalement dus au blocage d’une artère empêchant le sang de parvenir au cœur ou au cerveau. Leur cause la plus courante est la constitution d’un dépôt gras sur les parois internes des vaisseaux sanguins alimentant ces organes. Les accidents vasculaires cérébraux peuvent aussi résulter du saignement d’un vaisseau sanguin cérébral ou de caillots.

Les infarctus et les AVC sont généralement dus à la présence de plusieurs facteurs de risque associés comme le tabagisme, une mauvaise alimentation et l’obésité, la sédentarité et l’utilisation nocive de l’alcool, l’hypertension, le diabète et l’hyperlipidémie.

Quels sont les facteurs de risque ?

Les principaux facteurs de risques des cardiopathies et des AVC, sont une mauvaise alimentation, un manque d’activité physique, le tabagisme et l’usage nocif de l’alcool.

Les effets des facteurs de risque comportementaux peuvent se traduire chez les personnes par une hypertension, une hyperglycémie, une hyperlipidémie, le surpoids et l’obésité. Ces «facteurs de risque intermédiaires» peuvent être évalués dans les établissements de soins de santé primaires et ils sont le signe d’un risque accru d’infarctus, d’accident vasculaire cérébral, de défaillance cardiaque et d’autres complications.

On a constaté que cesser de fumer, réduire l’apport en sel dans son alimentation, consommer des fruits et des légumes, pratiquer une activité physique régulière et éviter l’usage nocif de l’alcool permettaient de réduire le risque de maladie cardiovasculaire. En outre, le traitement médicamenteux du diabète, de l’hypertension et de l’hyperlipidémie peut s’avérer nécessaire pour diminuer le risque cardiovasculaire et prévenir les infarctus et les AVC. Les politiques de santé, qui créent des conditions propices pour qu’il soit à la fois abordable et possible de faire les bons choix en matière de santé, sont essentielles pour inciter les populations à adopter un comportement sain et à s’y tenir.

Il existe aussi un certain nombre de déterminants sous-jacents des maladies cardiovasculaires. Ils proviennent des principales évolutions sociales, économiques et culturelles – la mondialisation, l’urbanisation et le vieillissement de la population. D’autres déterminants des maladies cardiovasculaires sont la pauvreté, le stress et les facteurs héréditaires.

Enfin, l’amélioration des soins apportés aux maladies cardio-vasculaire est le grand futur défi à relever. Nous essayerons d’établir des méthodes de soins efficaces luttant contre ce type de maladie de manière définitive.

Mehdi HAJOUB,2nd C

Amine ABABOU,2nd C

 

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